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L'Aigle noir de Prusse

Revivant le meurtre d'Abel Par ce spectacle surréel À terre drapeau glaive en main Attaquée au bord d'un chemin La jeune femme aux longs cheveux Par un Caïn fuligineux Le sinistre aigle noir de Prusse Sans qu'aucune autre issue ne fut-ce 

L'Année terrible

« Ô spectacle ! ainsi meurt ce que les peuples font ! Qu'un tel passé pour l'âme est un gouffre profond ! » Victor Hugo Sous le crépuscule naissant, Le ciel s'assombrit. Connaissant De l'histoire son épistrophe, Le mystérieux sphinx théosophe, Gardien...

L'Éloge d'un meurtre

Comme je marche seul à travers les bois sombres, Hagard, accompagné d'à peine quelques ombres, Sous ce feuillage épais mon penser semble vain. Pourtant, j'entends frémir comme une créature ; Ce léger bruissement — celui de la nature — N'est que l'incarna...

Le Banquet

Sous un voile de pourpre, festoyaient bruyamment des hôtes complaisants et leurs invités d'Orient. Les premiers s'allongeaient ou mangeaient accroupis ; d'autres, sur le ventre, tiraient à eux la viande et se rassasiaient, appuyés sur les coudes, dans la pose...

Le Faux Prophète

Alors qu'à l'ouest de la mer rouge, là où, paisibles, Près du Nil, dormaient sphinx et pharaons antiques, L'Est n'était que vastes étendues désertiques, Terres stériles aux horizons prévisibles. Sur les rives du Nil, de grands temples dorés Avaient trôné...

Le Poing de Njörd

Alors qu'à l'horizon Sòl se couche, La nef glisse sur cette mer farouche Où voudraient se refléter les étoiles — Et la tourmente chahute les voiles. Le bateau roule, tangue, inglorieux ; Danse, comme ivre, sur les flots furieux. Mais ces flots, houleux,...

Le Sourire du pendu

Avec une certaine nonchalance, À son arbre, le pendu se balance. Comme il est fier de son nouveau collier ! Et s'il fallut au dos ses deux poings lier, C'était pour mieux exposer à la horde Sa somptueuse parure de corde. Il se pavane, le menton bien hau...

Pour la France

« C'est cela mon époque. Et c'est cela, la vie de l'humanité, toujours. C'est ce massacre sordide, ce soir, et ce pur combat, ce matin. Que pouvez-vous imaginer d'autre ? Puis-je regretter Paris et sa torpeur ? Mais le Paris que j'aime, c'est celui des siècles...

Première Confession (Icare)

Voyant l'aigle chaque jour le soleil frôler, Hanté par l'ombre pesante du purgatoire, Tel Icare s'élançant de son promontoire, Pour fuir les ténèbres, je voulais m'envoler. Par Vanité, j'approchais de l'Astre ocellé. Je voulais égaler Sa bonté, sans savo...