Sacrificia Mortuorum piosenki

Mes juges se dressent face à moi leurs corps seuls me dominent... Larmes et cris m'accusent de tant de maux Cette douleur voilà donce mon boureau Tant de visages aucun souvenir... Une amère saveur celle du sang «Qui êtes vous pour me condamner Vous...

Le fardeau de la misère me semble plus lourd que la haine... Égaré au crépuscule de mes rêves la folie en muse bienveillante m'a ouvert à ce royaume de perdition Mon verbe sera ton ordre Abreuves ton désir de vie Délivres ta hargne manne nourriciéte d...

En elles gronde l'enfer... Leur galop semblable à une tempête Les arrachent à la chimérique étreinte de la brume Aux aurores d'une chasse obscène Cavaliers aux silhouettes éthérées garant de mon purgatoire S'ouvrant à leurs faiblesses en une parodie de n...

Alors que du cœur de Tiffauges s'élève une noir colonne de cendres L'insatiable brasier se délecte de jeunes chaires innocentes Les yeux hurlant leur terreur le corps fébrile, il m'implore... L'impossible compréhension de sa mort.. Risible tenative de...

Le comte Roland, à grand peine et grand effort, à grande douleur, sonne de son olifant. Hauts sont les monts, et bien longue la voix du cor: à trente grandes lieues on l’entendit faire écho. Et de sa bouche jaillit le sang clair, et de son front la tempe se ro...

Parées d'ombres et de lumières, trois femmes... Trois sœurs porteuses des promesses du destin Qui d'une seule voir débutèrent l'oracle: «La couronne qui te sied, héraldique de ton orgueil porte les couleurs de ta ruine...» «Déjà se lève le vent qui s...

L'étoile de mon protecteur se ternit m'entraînant dans sa chute Mes ennemis se révèlent le discrédit m'accable... «Comment se résoudre à tant d'incertitudes et de médiocrité» Brûler, détruire Ne laisser que champs de ruines derrière soi... Les racines...

Demain je serai pendu... L'hiver qui régnait sur mon cœur, n'a laissé fourbe morsure drapée de givre Prison de glace dernier lit pour un fleuve de haine qui autrefois brûlait mes veines Je n'aspire qu'au repos... Une lassitude plus noire qui le vide...

L'Ost victorieux se répandait, innombrable Plein de son propre orgueil... N'octroyant de droit dans son sillage qu'à la Mort Cependant son cœur se consumait Le temps du sommeil arrivait à son terme Chaque pas nous éloignait un peu plus de sa bannière.....

Emissaire d'un sacrifice nouant ton être. A la ronce méprisante du jugement des hommes. Bourreau décharné face au déni de son maître. Aux menées répugnantes de ton acte. Soumets toi et délivres moi du joug de cette enveloppe charnelle, Souggres serein, e...